Cette année, la journée nationale de l’audition aura lieu le 14 mars, cette journée permet d’informer un large public sur les risques liés à l’audition et sur les moyens de conserver une bonne santé auditive.
20 % des personnes ayant des limitations fonctionnelles auditives moyennes à totales sont équipées d'un appareil auditif.
D’après l’enquête « Handicap-Santé », Plus de 2 millions de personnes ne portent pas d'appareils mais en auraient besoin.
Depuis août 2014, les pharmacies sont autorisées à vendre des appareils appelés "assistants d'écoute", qui sont des appareils auditifs préréglés.
Contrairement à une prothèse auditive, l'assistant d'écoute est réglé de manière standard, et ne peut en aucun cas s'adapter à l'audition particulière de son utilisateur.
Il existe deux formes d'appareils, les contours d'oreille et les intraauriculaires dont les performances sont à peu près équivalentes avec cependant une plus grande facilité d'usage pour les contours.
Les contours sont portés sur le pavillon et reliés au conduit auditif par un tube terminé par un « embout » qui obture ce dernier ; l’embout assure le maintien du tube et l'étanchéité nécessaire pour éviter les sifflements produits par l'effet Larsen. Depuis peu, sont apparus des appareils à embout ouvert, dont le port est plus confortable.
Les intraauriculaires sont enfoncés dans le conduit auditif, et invisibles de l’extérieur. Pour diverses raisons, ces appareils ne peuvent pas être utilisés par tous.
La loi dit, l'arrêté du 23 avril 2012 prévoit que le dépistage de la surdité permanente néonatale soit proposé à tous les nouveau-nés.
Celui-ci comprend :
1. Un examen de repérage des troubles de l'audition, proposé systématiquement avant la sortie de l'enfant de la maternité. Ce repérage doit permettre de savoir s'il est nécessaire de réaliser des examens plus poussés.
2. Des examens réalisés avant la fin du troisième mois de l'enfant, quand l'examen de repérage n'a pas pu avoir lieu ou n'a pas permis d'apprécier les capacités auditives de l'enfant.
3. Une information aux parents sur les différents modes de communication qui peuvent être développés avec l'enfant.
L'idée de ce dépistage est de permettre la mise en place d'une prise en charge précoce, pour développer la communication et le langage, quelles que soient les modalités privilégiées.
Une baisse de l'audition doit être prise au sérieux de la même façon qu'une baisse de la vue. La première démarche est de consulter un médecin spécialisé en ORL (Oto-rhino-laryngologie). Si un appareillage en audioprothèses est envisagé, la personne doit prendre un rendez-vous avec un audioprothésiste. Dans certains cas, une implantation peut être conseillée. Il faut prendre rendez-vous dans un centre pratiquant l'opération. Quoiqu’il en soit, faites-vous accompagner par votre médecin ou un pharmacien expert, qui sera vous conseiller.
Il existe plusieurs sortes d'implants, prothèses, chacune correspondant à une situation spécifique (se renseigner avec votre audioprothésiste lors de votre rendez-vous, n’hésitez pas à lui poser la question, ou auprès de votre pharmacien). Lors du choix de l’aide auditive, plusieurs paramètres sont pris en compte : les caractéristiques de la surdité, l’esthétique et la psychologie du patient. L’appareil, ainsi adapté, se doit de répondre à trois principes fondamentaux : miniaturisation, économie d’énergie et efficacité. N’hésitez pas en parler avec votre ORL.
N’hésitez pas à vous faire aider et conseillez par notre équipe spécialisée et ils vous présenteront, entre autres, la large gamme de prothèses auditives proposées par SONALTO.